Page 247 Copyright : Officiel de Publication des droits d'auteur et du copyright - Copyright.be

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Prénom: Pascale

Nom: BERNARD

Date de dépôt de copyright: 10/17/2014 8:43:36 PM

Description du contenu de copyright: Presentation I P E institute 2 eme version le 17 octobre 2014

Secteur: Education

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Statut : Copyright déposé et certifié par huissier de justice.

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Société:

Prénom: Pascale

Nom: BERNARD

Date de dépôt de copyright: 10/17/2014 8:44:02 PM

Description du contenu de copyright: Presentation I P E institute 2 eme version le 17 octobre 2014

Secteur: Education

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Statut : Copyright déposé et certifié par huissier de justice.

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Prénom: Yves

Nom: Coffournic

Date de dépôt de copyright: 10/18/2014 12:12:00 PM

Description du contenu de copyright: Le packaging du vélaqua Fun est composé de plusieurs éléments en kit dont deux frites de natation, classiques, en mousse, de grandeur différente, accompagnées d’une boîte cylindrique contenant les accessoires permettant de les solidariser sous forme de demi-cercle. Cet assemblage, sans outillage, donne ainsi naissance au « Vélaqua FUN » pour ; l’aquagym, le vélaquagym, le fitness, l’aquapush, le water ball, l’hydrothérapie, la relaxation et plus encore.

Secteur: Life and leisure

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Prénom: Tom

Nom: Eloy

Date de dépôt de copyright: 10/18/2014 9:22:01 PM

Description du contenu de copyright: La marque Tom Eloy a mis au point un nouveau concept portant le nom et logo d’ Anyway Bird : une housse de vêtements et accessoires pour les déplacements. Confectionnée dans des matières nobles de qualité, la housse se module selon les souhaits et impératifs de chacun en diverses options à la demande. Concept de base : • Cintre amovible • Étuis et pochettes • Trousse de secours • élastiques porte-vêtements • Porte-clés • housses amovibles • Cadenas de sécurité Lors de son transport, la housse peut être portée de différentes manières grâce aux lanières amovibles : • À la main • En bandoulière • Sur le dos • Sur le dossier de votre siège auto A l’avenir nous envisageons de proposer une collection de vêtements et d’accessoires assortis.

Secteur: Fashion

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Société:

Prénom: Tom

Nom: Eloy

Date de dépôt de copyright: 10/18/2014 9:49:46 PM

Description du contenu de copyright: La marque Tom Eloy a mis au point un nouveau concept portant le nom et logo d’ Anyway Bird : une housse de vêtements et accessoires pour les déplacements. Confectionnée dans des matières nobles de qualité, la housse se module selon les souhaits et impératifs de chacun en diverses options à la demande. Concept de base : • Cintre amovible • Étuis et pochettes • Trousse de secours • élastiques porte-vêtements • Porte-clés • housses amovibles • Cadenas de sécurité Lors de son transport, la housse peut être portée de différentes manières grâce aux lanières amovibles : • À la main • En bandoulière • Sur le dos • Sur le dossier de votre siège auto A l’avenir nous envisageons de proposer une collection de vêtements et d’accessoires assortis.

Secteur: Design & Logo

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Société:

Prénom: philippe

Nom: coelst

Date de dépôt de copyright: 10/20/2014 12:13:23 PM

Description du contenu de copyright: support pour disposer les toast sur la table

Secteur: Design/Style

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Société: DELTEC

Prénom: thierry

Nom: DELOLME

Date de dépôt de copyright: 10/21/2014 8:48:11 AM

Description du contenu de copyright: Le lambrequin est une pièce décorative destinée à occulter les coffres des volet roulant.

Secteur: House and logging

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Statut : Copyright déposé et certifié par huissier de justice.

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Société: DELTEC

Prénom: thierry

Nom: DELOLME

Date de dépôt de copyright: 10/21/2014 8:59:52 AM

Description du contenu de copyright: Le lambrequin est une pièce décorative destinée à occulter les coffre de volet roulant

Secteur: House and logging

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Statut : Copyright déposé et certifié par huissier de justice.

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Société: DELTEC

Prénom: thierry

Nom: DELOLME

Date de dépôt de copyright: 10/21/2014 9:13:22 AM

Description du contenu de copyright:

Secteur: House and logging

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Statut : Copyright déposé et certifié par huissier de justice.

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Société: DELTEC

Prénom: thierry

Nom: DELOLME

Date de dépôt de copyright: 10/21/2014 9:28:50 AM

Description du contenu de copyright: Le lambrequin est un élément décoratif destiné à occulter le coffre du volet roulant

Secteur: House and logging

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Statut : Copyright déposé et certifié par huissier de justice.

Lien vers le dépôt de copyright: Copyright ID# DEP635494769297900405

Société: DELTEC

Prénom: thierry

Nom: DELOLME

Date de dépôt de copyright: 10/21/2014 9:59:20 AM

Description du contenu de copyright: Le lambrequin est un élément de décoration destiné à occulter le coffre du volet roulant

Secteur: House and logging

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Statut : Copyright déposé et certifié par huissier de justice.

Lien vers le dépôt de copyright: Copyright ID# DEP635494787592362058

Société: DELTEC

Prénom: thierry

Nom: DELOLME

Date de dépôt de copyright: 10/21/2014 10:26:58 AM

Description du contenu de copyright: Le lambrequin est un élément de décoration destiné à occulter le coffre du volet roulant

Secteur: House and logging

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Statut : Copyright déposé et certifié par huissier de justice.

Lien vers le dépôt de copyright: Copyright ID# DEP635494804177304564

Société: DELTEC

Prénom: thierry

Nom: DELOLME

Date de dépôt de copyright: 10/21/2014 10:33:08 AM

Description du contenu de copyright: Le lambrequin est un élément de décoration destiné à occulter le volet roulant

Secteur: House and logging

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Statut : Copyright déposé et certifié par huissier de justice.

Lien vers le dépôt de copyright: Copyright ID# DEP635494807884114466

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Prénom: Catherine

Nom: Zanakolona

Date de dépôt de copyright: 10/21/2014 2:06:31 PM

Description du contenu de copyright: Catherine ZANA & Gabrielle Ben Yeshoua TITRE DU LIVRE... Roman Editions... Table de matière / Sommaire: Chapitre premier : 17 Chapitre II : MADA Chapitre III: Dans l'attente Chapitre IV: Des jours heureux Chapitre V: Métamorphose / Laura: une inconnue... Chapitre VI: L'impossible retour en arrière Chapitre VII: Se reconstruire / Continuer à vivre Préface Présentation succincte de l'auteur et de son parcours. Chapitre premier : 17 Nous nous trouvons en 2012, plus précisément dans la nuit du 2 au 3 septembre 2012.Date mémorable, qui n'arrive qu'une fois dans sa vie, en fin j'espère… Le vrai cauchemar, pas celui ou vous dormez et vous vous réveillez en sueur, car vous avez vraiment eu peur. Une fois réveillé, vous êtes dans votre lit, sous votre couette et tout va bien.Là, on est dans le cauchemar éveillé, et même si on se dit je vais me réveiller, raté, vous êtes réveillée! La nuit est fraîche, il est entre une heure et deux heures du matin. Tsara se trouve dans la salle de bain et est en train de ranger le désordre causé par des visiteurs indésirables passés plus tôt dans la soirée, qui ne sachant pas quoi faire, sûrement , ont cassés pour le plaisir. Tout à coup elle entend depuis le couloir, la voix d'un homme appelant au secours. "Appelle la Police, il veut nous tuer"(pas sûre de mettre cela) Quelques minutes plus tard, elle descend les escaliers, et se croit dans un film, mais un très mauvais film: un homme a un couteau dans une main, le regard hagard, hébété, les vêtements remplis de sang ainsi que les mains et le visage. A l'autre bout du couloir, près du radiateur, un autre homme est contre le radiateur et la porte d'entrée,légèrement recroquevillé sur lui-même, lui aussi rempli de sang, très certainement gravement blessé . La lumière est allumée dans le couloir, le salon est dans la pénombre ainsi que le bureau.Il y a du sang parterre et partout dans tout le couloir.Personne ne dit un mot, mais la situation est grave, jamais vécu cela, enfin jusqu'à aujourd'hui! Mais, personnellement, pas de panique, puisque nous sommes victimes,puisque agressés chez nous, des sauveurs( la police) vont arriver nous aider, nous rassurer et reprendre la situation en main. Ils vont nous dire" vous avez bien fait de vous défendre", car eux manifestement, ils n'ont pas pu!!!! L'homme dépose le couteau dans la cuisine et va se servir un whisky pour se remonter le moral, si l'on peut cela comme ça.Je remonte dans la salle de bain pour appeler la Police, je me trompe et je fais le numéro des pompiers, en les engueulant car ils n'étaient pas venus assez vite.J'ai quand même appeler la Police 3 fois. Mais ils n'ont pas que cela à faire, me dira-t-on plus tard lors des super interrogatoires. la Police arrive, mais ne pouvant passer par la porte puisque il y avait cet homme couché le long de la porte d'entrée, une partie de nos "sauveurs en retard" est passé par la porte du garage que je suis allée leur ouvrir( je demande à mon ex, car je ne me souviens plus vraiment), l'autre partie de nos" sauveurs en retard" est passée par une des fenêtres du salon, et forçant les volets, dans le style James Bond. Sauf, que dans la maison, il n'y avait pas de méchants! C'est là qu'intervient la "présomption d'innocence" Définition: 1. Un droit fondamental Le principe de la présomption d'innocence est un principe fondamental du système judiciaire français. Il est inscrit dans de multiples textes, tant français qu' internationaux, qui le promettent en tant que droit de l'homme et en garantissent son application et son respect: • article 9 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789: « tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable... » • article 11 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme de 1948 de l'ONU : «Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées. » • article 6 alinéa 2 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme de 1950, «Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie» Les coq-boys ont débarqué chez nous, ne sachant pas ce qui s'est passé, se permettent de tutoyer mon mari, qui les reprend, ne posent même pas de question, et lui mettent directement les menottes, en langage de coq-boys, ils disent "serrer" littéralement "serre-le". Première fois que j'entendais cette expression. Ils l'emmènent, en chemise, avec des chaussures pour aller dans le jardin, et le mette en garde à vue. Tout cela s'est déroulé dans un bruit pas possible , ils criaient tous, je n'ai pas compris encore pourquoi. Peut-être pour s'affirmer. (Il faudra que je parle des chiens) J'étais assise dans la véranda, je regardais mon mari partir par le jardin, encadré par les cow-boys, on ne sait jamais, s'il se mettait à courir pour s'enfuir, quand une femme flic s'est mise à hurler"serrez-là elle aussi". Là je connaissais le vocabulaire et j'ai compris que c'était mon tour. Donc j'ai eu droit au "serrage", et en prime, j'avais 3 cow-boys qui étaient en face de moi, de peur que je prenne la fuite.J'étais en chemise de nuit avec un pagne, pieds-nus, non coiffée, complètement sous le choc, déjà qu'un homme soit sûrement mort chez moi, mais en plus que l'on nous traite comme des chiens et le mot est faible. Il faudrait peut-être apprendre à réfléchir et à se poser les bonnes questions, Messieurs et Mesdames les représentants de l'autorité publique. Je suis restée assise de 3h à 9h, avec mes coq-boys en face de moi.J'ai demandé à un moment donné un verre d'eau,avec mon eau que je paye avec mon verre que j'avais payé. Très dur de donner un verre d'eau à quelqu'un! J'entends qu'ils tentent de réanimer le "jeune homme", et après plus rien. j'en déduit en moi-même qu'il est mort. Et là, je me dis que l'histoire se complique.Vu la tournure des choses et le comportement des coq-boys, je pense que nous sommes dans la galère, et je ne me trompe pas. Après avoir pris des photos, des empreintes, et tout ce qu'un coq-boy bien discipliné, doit faire, je suis emmenée, en voiture, au commissariat, pour bien sûr, une garde à vue. En arrivant, les menottes bien serrées, et je vous jure que cela fait mal, j'attends que l'on s'occupe de moi. je veux dire prise d'empreinte, photo( pas géniale la photo), on vous enlève un partie de vos vêtements(soutien gorge, ceinture, bijoux et chaussures. J'avais oublié de préciser que j'ai eu le droit de m'habiller, avant de partir, sinon, ces ploucs m'emmenaient en chemise de nuit. Nul!. Je suis donc montée m'habiller, menottée, avec mes coq-boy derrière moi, et la porte entrouverte ou plutôt ouverte, je me suis vite fait vêtue correctement. Après toutes ces péripéties , on m'a mise dans une cage, cellule de garde à vue. Concernant nos droits durant la garde à vue, pas sûre qu'il aient été respectés, je dirai même pas sûre du tout. J'ai demandé à passé un coup de fil, j'attends toujours. On ne m'a pas dit combien de temps l'on pouvait me garder etc J'ai effectivement vu un avocat commis d'office, très bien, rien à dire.Elle m'a dit que je sortirai le lendemain, ce qui a été le cas. Je ne m'inquiétais pas trop pour moi, puisque je n'avais rien vu, mais sait-on jamais avec les coq-boys. Par contre, pour mon mari, je ne savais pas quoi penser. Il s'était défendu, on avait appelé les coq-boys 4 fois. Mais une chose que je n'avais pas encore comprise, c'était que cette mise en scène, que cela avait été cogité, réfléchi et organisé. Je fus, de mémoire interrogée au moins 2 fois, pour relater les faits, m'entendre dire que j'avais une belle maison mais elle était mal rangée. Qu'elle est la relation? Peut-être que nous avions , mon mari ou moi, l'habitude de tuer des gens. Désolée, c'est le premier! Dans ce premier chapitre le soin sera pris de décrire les protagonistes sans reveler leur identité. L'accent sera mis sur la description du décor, de l'atmosphère et de l'état d'esprit de ces trois personnages. S'en suivra un enchaînement rapide de plusieurs évènements pendant les heures qui suivront: l'arrivée de la police, l'arrestation, les premiers interrogatoires dans leurs locaux... Chapitre II : MADA …..la fuite la première fois que je suis allée à mada, il n'y avait que des malgaches:)) et j'étais fondue dans la masse. Etrange pour moi, où en France, un peu moins maintenant, je suis toujours différente. Mais j'aime bien.J'ai donc fini par découvrir le pays de mon père, qui est aussi le mien.Cela m'avait pris comme cela, il fallait que j'y aille, c'était maintenant ou jamais. Je crois que mon frère a eu la même problème, mais sans crise.Moi, j'ai choisi le moment, le meilleur, où il y avait une crise, comme les nombreuses crises qu'il y a dans les pays, ex colonies. Tout mon entourage m'avait déconseillée de partir, j'ai même entendu que je risquais que l'on me coupe la tête. Il n'y a pas de coupeurs de têtes à Mada, et donc je suis revenue avec ma tête sur les épaules. Complètement entière, je veux dire ma tête, mes deux bras et mes deux jambes et mon tronc. Bon, on m'avait prévenue que je ne devais pas dire que ma mère était française, je veux dire vazaha(blanche), chose que j'ai appliquée puisque je souhaitais revenir entière!!! Je n'ai vu aucun européen pendant ce voyage à, part les religieuses.Tout le monde était planqué. Pays très pauvre, avec une très forte inégalité, peu de riche, mais beaucoup, beaucoup de pauvres.Quand je dis pauvre, ce n'est pas pauvre comme en France. C'est pauvre du style, vivre dans une cabane en bois, sans eau ni électricité, pas de salle de bain, bien sûr, ni de toilettes.Les gens mangent 3 grains de riz par jour, je caricature, peut-être 5 ou 6, les enfants ne vont pas à l'école, travaillent pour aider leurs parents, font des kilomètres pour aller vendre leur maigre récolte etc… ceux qui ont la chance d'aller à l'école, font aussi des kilomètres, souvent avec rien dans le ventre pour rejoindre leur école.Toujours pareil, ceux qui on un peu d'argent peuvent s'offrir la cantine, sinon, ils regardent les autres manger. Tout est payant ,pas de SS, pas d'alloc, retraite pour les fonctionnaires, les autres, ils se démerdent.Voilà un tableau sommaire de la vie à Mada. Par contre, les gens ont toujours le sourire, je ne sais pas comment ils font, perso, je ferai la gueule.Très hospitaliers, parfois intéressés quand ils savant que vous vivez en France, mais c'est normal pour moi. Je vis mille fois mieux qu'eux, Merci Papa! Le pays est magnifique, et le mot est faible, bourré de ressources en pierres précieuse et semi- précieuses, de minerai, (je chercherai pour le reste). Donc pays très riche, mais habitants très pauvres. Allez comprendre!je développerai après.je parlerai de la colonisation. Pour revenir au sujet de ce livre, je n'ai pas pu sortie de la capitale qui est Antananarivo. En effet, je devais aller à Diégo, au nord de l'île, mais tous les avions étaient bloqués à terre. C'est "grâce" à cette situation politique que j'ai rencontré "ma fille", enfin celle qui allait devenir ma fille pour un temps, pas pour toujours comme c'est l'habitude. A l'époque je ne le savais pas, d'ailleurs heureusement. Je suis donc allée dans un orphelinat que l'on m'avait indiqué, et là on m'a présenté une petite fille de 3ans, susceptible d'être adoptée, car abandonnée. Cette gamine mangeait de la bouillie de maïs dans une petite assiette, assise avec d'autres enfants, tous très jeunes. De mémoire, l'endroit n'était pas si tristounet que cela. Les enfants étaient habillés proprement, bon ce n'était pas de la marque, bien sûr! On m'a donc présenté cette petite fille, très mignonne, même belle, avec de grands yeux marrons, black comme mon père, toute fine. On m'a demandé si cela me convenait, j'ai dit oui, en pensant, je ne suis pas au Supermarcket. Je l'apprendrai plus tard, mais certaines personnes qui viennent pour adopter, viennent en fait faire leur marché. Il faut que l'enfant ne soit pas trop foncé, les cheveux pas trop frisés, gentils, bien sous tout rapport, quoi:)) En fait, j'ai adopté le premier enfant que j'ai rencontré et qui était adoptable. Je précise que je voulais une fille, ayant deux garçons. C'est la seule condition que j'avais posée et qui était stipulé dans mon agrément, une petite fille malgache(je dois revoir l'âge). Pourquoi malgache? Mon père est malgache et j'ai deux enfants de type européen.Donc, mélange des couleurs, mélange des cultures! Je suis allée avec Laura, c'était son prénom, dans le bureau de la directrice et j'ai pu la prendre sur les genoux et lui parler, sans que je ne parle quasiment pas malgache. Donc il y avait une personne, qui plus tard jouera un rôle important dans l'histoire de cette petite fille , qui faisait l'interprète. Le courant semblait bien passer et la directrice m'a confirmé que sa mère l'avait abandonnée et que l'on pouvait espérer l'adopter.J'ai eu un choc, car pour moi, un enfant adoptable est un enfant orphelin, je veux dire par là, ses parents sont décédés. Or , ce n'était pas le cas! raconter la dernière journée à Mada et l'avion et l'arrivée à la maison Je pars au Consulat pour avoir le visa permettant de revenir en France.Tout est en ordre, on me le donne sans problème. Ensuite, vu les antécédents des semaines passées, je fonce à l'agence d'Air France pour changer la date des billets, puisque j'avais pris un billet adoption. Et je choisis de partir le jour même. Retour chez la famille d'accueil pour un déjeuner où toutes les personnes qui s'étaient occupées de Laura étaient présentes.Déjeuner d'adieu. Départ pour l'aéroport, chargé comme des ânes. Plusieurs membres de la famille d'accueil étaient là, la nounou qui avait connu Laura à l'orphelinat et qui avait servi d'interpréte, il y a déjà deux, pleurée à chaudes larmes, sa soeur qui étaient aussi impliqué pour aider, pleurée aussi. les enfants de la famille s'accrochaient à Laura, qui a fini par se mettre à pleurer, je ne sais pas si elle pleurait car elle ne voulait pas partir ou si elle pleurait car elle avait de la peine de les quitter. On passe en salle d'embarquement. Fouilles classique et Laura qui continue à pleurer. Je lui achète une boisson et elle finit par s'arrêter. On marche sur la piste jusqu'à l'avion, première fois qu'elle voyait un avion de près.On monte et s'installe. Ouf, sauvées! L'avion décolle, cette longue histoire de 2 ans d'attente, de démarches, d'anecdotes est terminée. On passe à autre chose. Pendant le trajet, 9h de vol, Laura s'endort après avoir regarder un film. Peu avant l'arrivée, je lui demande me mettre un collant, car il fait froid au mois de janvier en France. Impossible de lui mettre le collant, chose qu'elle n'avait jamais mis sûrement. On atterrit, et là c'est du concret, le froid, le contexte(tapis roulant sur lequel elle s'est éclatée pendant que j'attendais les bagages sur le tapis d'à côté)Elle a m^me failli partir dans le trou où disparaissaient les bagages.Mon mari nous attend et l'on part pour la maison. En arrivant, elle va vers Fufu et lui met les bras autour du cou, pour l'embrasser. Blaise arrive peu de temps après, et elle lui met les bras autour de la taille. je me suis dit" tout baigne". Blaise au début a été un peu jaloux , en la taquinant, surtout pour l'école. Cela la faisait pleurer. En effet, j'ai gardé Patricia 4 mois à la maison pour lui apprendre la vie d'ici et la langue française. On sortait, on allait au resto, on faisait les magasins , les courses,etc. Une vie normale, quoi!On vivait et on faisait connaissance. Après elle est allée à l'école. En fait, je suis rester 48h à Mada. Assise confortablement dans un avion qui la ramène à l'aéroport de Roissy Charles de Gaulle, Tsara, le regard perdu dans les nuages fixant l'horizon, peine à dissimuler sa joie. Ce dernier voyage à Mada, ainsi qu'elle appelle son ile, a marqué l'achèvement de longues années de patience. Les dix heures de vol sont largement suffisantes pour qu'elle se remémore son bref séjour jonchés d'évènements forts en émotion. On commencera ici par parler du pays, de sa culture etc... puis on évoluera vers l'objet de sa visite. Encore une fois, on n'abordera pas directement le sujet, l'intrigue sera sauvegardée en ce qu'on décrira les derniers instants passés sur l'île par la mère et sa fille. Les dernières lignes de ce chapitre vont se terminer avec la rencontre des enfants et de l'epoux. Ce ne sera qu'à ce moment là qu'on décrira Laura et qu'on pourra montrer la différence entre elle et les autres enfants, laissant ainis suggérer au lecteur qu'il s'agit d'une adoption. Chapitre III: enfin…le sésame Adopter, tout un programme! Qu'est-ce qui poussent les gens à vouloir adopter. Souvent, impossibilité d'avoir des enfants bio. Ce n'est pas mon cas, simplement ,nous avions eux des enfants présentant des problèmes de santé, sans qu'il y ait une relation entre ces différentes pathologies, donc on nous avait conseillé de ne plus faire d'enfant biologique. On avait commencé une procédure il y a quelques années, mais moi je n'étais pas prête.Donc, nous avons laissé tombé, pour recommencer quelques années plus tard. Nous commençons cette deuxième tentative pour avoir le fameux agrément , le sésame,en(faut je revois les dates). 1er parcours du combattant. Pour nous, cela n'est pas gagné car nous avons des enfants biologiques. ? Tsara furieuse sort du cabinet du psychologue qui vient de la tratiter de « femme inhumaine ». Elle se précipite sur son sac Vuitton pour rattraper son téléphone portable niché dans le fond. Elle compose le numéro de son époux et lui relate sans meme prendre le temps de respirer cet entretien désagréable. Après l'avoir longuement écouté, son mari conclut en lui disant d'un ton ferme: « Tu devrais mettre un peu d'eau dans ton vin si tu veux obtenir ce sésame ». Ce chapitre est consacré à l'histoire personnelle de Tsara. Seront ici évoquées les raisons qui vont la pousser à vouloir adopter, sa situation familiale, son histoire personnelle ainsi la longue et fastidieuse procédure d'adoption... Chapitre IV: Des jours presque "heureux" Les débuts de la vie de laura parmi nous se sont plutôt bien passés. Enfin, c'est ce que j'ai retenu et mémorisé.Le premier jour, je lui ai faut découvrir sa chambre pour elle toute seule. Dans la famille d'accueil, elle dormait dans une espèce de mezzanine qui était bien aménagée. Quand elle est arrivée la première fois à la maison, elle avait peur des chiens, et très vite, elle les a apprivoisés.sa bête noire, c'était l'école. A made, on m'avait dit qu'elle mentait en disant que la maîtresse était méchante avec elle. Apparemment, ce n'était pas vraie. Je l'ai inscrite en dernière année de maternelle, où tout s'est bien passé. la maîtresse, qui connaissait la situation, a très bien géré. je crois qu'elle avait eu Blaise, mon fils aîné, dans sa classe.On a fait une adaptation, et la première journée, le matin où je l'ai laisée toute seule, elle pleurait, comme tous les enfants. je suis partie et il était convenu avec l'institutrice qu'elle me ferait un signe si tout allait bien. J'ai attendu, cachée derrière un poteau électrique ou je ne sais plus, et j'ai vu le signe du pouce levé en l'air de la maîtresse que tout était OK.Laura ne pleurait plus.Elle a très vite appris le français, 4 mois environ,et s'est fait des copines rapidement. A la maison, quelques habitudes à prendre ou à perdre, à savoir, se laver tous les jours, ne pas planquer de la bouffe dans sa chambre. je lui ai dit plusieurs fois qu'elle devait déposer ses valises, et qu'elle aurait toujours de quoi manger, toujours un toit, et que tout irait bien à l'avenir. Cacher de la nourriture dans sa chambre à pris un certain temps avant qu'elle n'arrête. Ne plus manger avec ses doigts, quoique, l'on ait souvent rigolé et prise en photo. Elle est arrivée en janvier, le 4 plus précisément, et j'ai organisé un petit Noël, où mon mari s'est déguisé en père Nöel, et Laura a reçu des cadeaux. C'est ce que l'on faisait pour les deux premiers quand ils étaient petits.Tout agrémenté d'un bon repas, dans de la belle vaisselle et des bougies. Je me souviens qu'elle était une peu surprise, comme à Mada quand je lui avais offert une poupée aussi grande qu'elle. Je n'ai pas tenté de me justifier ni de justifier le comportement de Patricia, quant à sa différence de comportement. Elle venait d'un "autre monde" où la vie est différente, totalement différente. Donc, dans un premier temps, c'était à nous de s'adapter et aux autres, femme de ménage , auxiliaire de vie et même mari etc. Elle mange beaucoup. Je l'ai vue une fois manger un saucisson en entier en une seule fois de peur de ne plus avoir à manger après.Elle était à la limite de vomir. Elle s'en met m^me dans les poches. la hantise de manquer. Tout cela s'est passé plutôt bien , bien que parfois au fil du temps, il y avait des coups de gueule. Là où j'ai commencé à avoir des problèmes, c'est à l'école. Elle me raconté des cracks du style la directrice est racisme, alors qu'elle était mariée à un black, elle fut plusieurs fois accuser de vol. Au début, je me pointais en la défendant bec et ongle comme je l'avais fait pour Blaise. Puis une fois, une gamine l'accuse de lui avoir volé son tamagushi. Patricia nie tout en bloc, mais quand je vais voir la gamine dans la cour de l'école, Patricia soutient qu'elle n'a pas volé et fouille dans son sac en tenant dans sa main le fameux jouet. J'étais éberluée, je n'avais jamais vu ça. En fait, elle avait vraiment pris le jouet de la petite.Incroyable. Elle m'avait juré qu'elle n'avait rien fait, et moi je l'avais cru. Je n'ai rien dit sur le coup, mais une fois à la maison, je l'ai disputée et j'en suis restée là. C'était les premiers vols suivis de nombreuses histoires et déconvenues. Elle ne prenait pas ses devoirs pour le soir, ou me disait au début(primaire) qu'il n'y avait pas de travail à faire à la maison. Quand je m'en suis rendué compte, je devais tous les soirs vérifier via une bonne copine à elle de me donner les cours à apprendre. Je mets tout en vrac: Etant moi-même très coquette, je voulais que ma fille soit très belle. Donc, je lui avais acheté, et par la suite nous faisions le magasin ensemble; mais vraie galère, elle voulait tout ce qu'elle voyait ou presque notamment au fur et à mesure qu'elle grandissait des marques, mais c'est normal. Elle était comme tout les petits français. Rapidement, au niveau de ses cheveux que j'ai du apprendre à maitriser, car plus frisés que les miens.Au début, comme à Mada, quand j'allais la voir, je me faisais un plaisir de la coiffer. En France, aimant les tresses, mon mère m'en faisait, je l'ai emmené chez une coiffeuse, qui est devenue sa coiffeuse attitrée, qui la nattait en mettant des rajouts comme on appelle cela. Cela lui allait très bien.Ensuite, je m'y suis mise et je la coiffais à la maison. Il me fallait au moins 6 heures, en deux fois pour arriver au bout de sa tignasse. mais au bout, je dirai 2ans elle s'est mise à ne plus aimer ses cheveux, et un jour, elle s'est même coupait complètement les cheveux. Un vrai désastre. Elle n'aimait pas non plus sa couleur. Mal barré, car pour changer de couleur, à moins d'être Michael Jackson, c'est pas gagné. Pourquoi, je ne sais pas? Autodestruction qui commençait. Mais je n'y comprenait rien. Un fois, on se promenait dans un parc où il y avait un centre équestre. Cela lui a plu et m'a demandé d'en faire. je l'ai donc inscrite et elle a commencé à faire du cheval. Elle était très douée. Elle en a fait plusieurs années et je souhaitais qu'elle fasse de la compétition, mais comme d'habitude, dès que quelque chose marchâit bien pour elle, elle refusait d'aller plus loin. Elle a refusé les compétitions, mais à continuer à faire de l'équitation.C'est elle qui prenait certain débutant dans le dernier centre où elle a fait du cheval. Elle avait 12ans ou 13ans. Idem, j'avais commencé des séances de NF, j'avais des résultats, quant à son comportement. Dès qu'elle a vu cela, elle a refusé de continuer. Elle avait un très bon contact avec les animaux. Elle a m^me fait du bénévolat à l'école des chats près de chez nous. Elle aimait bien les 3 chiens et les 3 chats que nous avions. Elle s'en occupait. Un moment donné, elle voulait faire véto, mais comme je lui ai répondu "Chérie, il faut bosser à l'école". Tsara lève le nez de son ordinateur pour écouter plus attentivement les plaintes de la femme de ménage. Une autre mère se serait certainement mise en colère face à ces faits qui se répétaient mais elle savait etre compréhensive. Son histoire n'était pas celle des autres mamans et sa laura était bien différente des autres fillettes de son age. Alors , face à la femme de ménage qui exprimait une énième fois son agacement devant le friandise, viennoiserie et autre nourriture conservées par la jeune Laura dans sa chambre, Tsara tentait de trouver les mots... Nous présenterons à partir de différentes anecdotes le quotidien de cette nouvelle famille qui s'est formée et l'adaptation de Laura à son nouvel environnement. Chapitre V: Laura: une inconnue Progressivement Tsara se rend compte que sa nouvelle maternité n'est point sans repit. La fille qu'elle a tant désiré commence à se présenter sous une autre visage. Vols, mensonges et autres désillusions font à présent parties d'un quotidien que son époux et elle peinent à gérer. Laura quant à elle meme de manière insouciante sa vie d'adolescente sans se préoccuper de ce qu'elle sème sur son passage... Chapitre consacré au changement de comportement de l'enfant et de la manière dont cela est appréhendé par le reste de la famille. Chapitre VI : La nuit où tout a basculé Soirée normale, après dîner, je vaque à mes occupations, je regarde un peu la télé et je monte coucher mon fils, ensuite, j'en fais autant. Rien d'anormal, la routine.Tout va bien. Vers 23H30h, j'entends des bruits de voix sur le palier au 1er étage.J'ouvre la porte de ma chambre qui donne sur ce palier et je vois mon mari en train de parler à travers la porte à des personnes. Aucun doute, c'est Patricia. Mon mari essaye de négocier pour qu'ils sortent de la salle de bain, mais ils ne veulent pas et menacent de tout cassé si on ne les laisse pas rester dans la salle de bain. En fait, ils avaient déjà commencé à casser! Je descends téléphoner sur le fixe à la Police et au Foyer, car Patricia était placée provisoirement dans un centre de placement socio-éducatif de Cormeilles dans lequel elle avait été placée par une ordonnance de placement provisoire en date du 23 août 2012,attendant qu'ils lui trouvent un collège.Elle s'était échappée du centre pour rejoindre son petit ami. En descendant, je constate qu'ils avaient lancé des vases et des objets dans la niche qui se trouve dans l'escalier Donc, la Police arrive, monte au 1er et commence à parlementer avec eux. Ils nous demandent si ils peuvent démonter la porte de la salle de bain. Pas franchement contente de cette perpective, mais bon, on n'a pas le choix. Finalement, il finissent pas céder relativement vite, après réflexion, et la police les emmènent, nous présumons au poste de police et nous présumons auLe 3 septembre 2012 à 2H30,le jeune homme a été laissé libre de quitter le commissariat, après une simple vérification d'identité, alors qu'il était connu des services de police pour de multiples antécédents de vols et de violences, qi'il s'était introduit chez nous sans notre accord et qu'il était avec une mineure) Pas sûre qu'il faille mettre cela ici, ça ril y a moins de suspenceaussi que le "jeune homme" sera mis en garde à vue.(. En effet, ce"jeune homme" a 23 ans. Patricia a 13ans. Sans commentaire! Mon mari serre la main du "jeune homme" en lui disant "désolé que cela finisse comme cela" . Quelques temps après, une personne du foyer vient chercher Patricia, je lui dis qu'elle est au poste de Police, et je lui dis de la garder, car je ne veux plus de ce genre d'événement. Donc, tout va bien à nouveau. Je vais me recoucher. Vers 2h du matin, j'entends des bruits de voix venant de la véranda, qui se situe en-dessous de ma chambre. Plutôt, ma chambre donne sur la véranda . Je me demande ce qu'il se passe, mon mari parlerait-il tout seul? Je me lève, j'ouvre la porte de ma chambre et je descends. En arrivant dans la véranda, qui vois-je? le "jeune homme" vautré dans un des mes canapés en train de fumer un cigare, un verre de whisky à ses pieds. Je lui demande ce qu'il fait là et pourquoi la police l'a relâché. il me dit "Femme, ferme ta gueule" La dessus, il enlève son tee shirt, va chercher un couteau dans la cuisine et commence à faire semblant de se lacérer le corps, il finit par se couper légèrement le bras, en disant des trucs débiles du style:" je suis policier, je suis musulman, il se prosterne même par terre, j'ai tous les droits, je peux faire ce que je veux de vous". Ses propos sont très virulents, menaçant et incohérents. Nous sommes des bourgeois, des mécréants. Patricia ne s'appelle pas Patricia mais un nom arabe que je n'ai pas retenu. Elle n'ai pas malgache et nous ne sommes pas ses parents( Ca avec le recul, cela ne me dérange pas). Elle est enceinte de jumeaux et bien sûr c'est lui le père. Tout un programme! (Il faut que je relise certains trucs) Bien sûr, je ne ferme pas ma gueule et il commence à s'avancer vers moi, d'un air menaçant. Mon mari se lève, craignant qu'il m'agresse. Voyant que cela risque de tourner au vinaigre, je monte pour appeler une seconde fois la police, de mon portable qui était dans ma chambre.(pas sûre) je suis dans la salle de bain en train de ranger un peu quand j'entends mon mari criait"appelle la police, il veut nous tuer" Ce que je fais pour la 3e fois. En fait voilà ce qu'il s'est passé pendant que je dormais. 1ere intrusion: Patricia et le "jeune homme" s'introduisent dans la propriété en passant par le jardin, par le seul endroit où il n'y avait pas de barbelés. Endroit très complique, par lequel, elle était passée qu'une seule fois car très compliqué. En effet, il faut passé par le mur du voisin pour ensuite enjamber notre mur. Ils arrivent dans le jardin et longent le mur de la maison et ensuite la véranda pour se présenter à la porte de celle-ci. Mon mari est devant son ordinateur, il entend les chiens aboyer et se précipiter vers la porte de la véranda. Qui voit-il? Patricia et le "jeune homme". Patricia lui dit qu'ils veulent parler. Mon mari lui répond que Patricia peut rentrer mais pas le "jeune homme", tout cela en ouvrant la porte de la véranda. Patricia bouscule mon mari, qui ne s'y attendait pas et là, ils rentrent tous les deux dans la maison, passent par la cuisine, endroit où sont situés les couteaux( très important pour la suite) et monte dans la salle de bain. La suite vous la connaissez. 2eme intrusion: Même endroit pour rentrer dans la propriété, Patricia lui avait montré le chemin 2 heures avant, d'ailleurs c'est pour cela qu'elle était venue. Même scénario, mon mari devant son ordi, les chiens qui aboient à nouveau en voyant le "jeune homme" à la porte de la véranda. Idem, il veut parler de Patricia. Mon mari le laisse entrer, et là il lui dit que Patricia va revenir, qu'elle va s'échapper et qu'il l'attend. Entre-temps, il demande un whisky et un cigare à mon mari. C'est Patricia qui lui a dit qu'il fumait des cigares et buvait du whisky. Il dit qu'ils vont vivre dans la chambre de Patricia. Patricia était la seule, avec nous bien sûr, à savoir comment passer par le mur. En effet, il n'y avait pas de barbelés à un angle. Elle était passée une seule fois par là pour s'enfuir, mais n'avait jamais recommencé. J'en avais déduit que cela était trop difficile, et je n'ai donc pas équipé cet angle du mur de barbelés.(déjà dit) • Patricia était venue une fois déjà avec Mr Cherifi,entre le 21 août 2012 et le 23 Août, qui n'avait pas pu rentrer, l'auxiliaire de vie ayant refusé de le faire rentrer En fait, elle venait soi-disant prendre son passeport et des vêtements • Je pense qu'elle voulait déjà montrer les lieux à Mr Cherifi et faire un repérage. Le 24 août, elle revenait après 18 jours de fugue • Elle avait inscrit "je vais vous tuer" sur plusieurs bristols, que Mme Tamda(l'auxiliaire de vie) a trouvé en rangeant sa chambre avant les événements • Plus tard au téléphone, elle m'a dit avoir fait cela car j'étais méchante avec elle. je te fais un copier coller Marc LACROIX et Antoine CHERIFI ont entamé une discussion au cours de laquelle ce dernier a manifesté un comportement perturbé et violent, tenant des propos incohérents (incantations religieuses, mime d’auto-lacération) et proférant des menaces de mort. Antoine CHERIFI s’est emparé d’un couteau dans la cuisine et s’est fait de plus en plus menaçant envers Marc et Catherine LACROIX. Marc LACROIX parvient à le calmer en lui disant notamment que la religion prône la paix et non la violence. Catherine LACROIX partie rejoindre leur fils, Fulgence, au 1er étage, appelle la police. Antoine CHERIFI pose le couteau sur la table, se rassoit et dit qu’il attend Patricia LACROIX. Marc LACROIX répond que Patricia LACROIX est dans le centre de placement, fermé la nuit et qu’elle ne peut pas venir. Antoine CHERIFI insiste en disant qu’il l’attend ici. Marc LACROIX lui donne la même réponse. Finalement, Antoine CHERIFI accepte de partir et se lève, Marc LACROIX passe devant lui pour sortir par la porte d’entrée. Dans la cuisine, Marc LACROIX reçoit des coups de couteau dans le dos qui le font tomber dans le hall d’entrée et lui fait perdre ses lunettes. Un corps à corps s’est engagé entre les deux hommes. La lumière était éteinte il n’y avait pas d’éclairage dans le hall autre que celle en provenance de la cuisine. Antoine CHERIFI a piqué Marc LACROIX, dans le dos, avec la pointe du couteau (Marc LACROIX devançait Antoine CHERIFI). Il l’a blessé puis, a tenté de lui asséner plusieurs coups de couteau mêlés de coups de poing tout en continuant de le menacer de mort (cf. : examen clinique de Monsieur LACROIX-D182 et suivantes et présence de diverses plaies « punctiformes » D181). Marc LACROIX a hurlé à sa femme d’appeler la police pendant qu’il essayait de se défendre. Au cours du corps à corps, le couteau est tombé à terre. Après avoir repoussé Antoine CHERIFI, Marc LACROIX, convaincu que l’individu pourrait s’emparer à nouveau de l’arme, et s’en prendre, outre à lui-même, à sa femme et son fils, lourdement handicapé, qui se trouvait à l’étage, a saisi le couteau pour se défendre et pour protéger la vie des membres de sa famille. A ce moment Marc LACROIX a demandé à Antoine CHERIFI d’arrêter. Antoine CHERIFI lorsqu’il s’est jeté sur Marc LACROIX s’est s’empalé sur le couteau. Marc LACROIX a continué de se défendre sans jamais savoir qu’il avait touché Antoine CHERIFI qui ne se plaignait pas et redoublait de violences. Sept coups de couteau ont été portés dont deux coups mortels. Marc LACROIX a alors allumé la lumière puis, a constaté avec effroi qu’Antoine CHERIFI gisait par terre. Il a aussitôt demandé à sa femme d’appeler le SAMU et de prévenir la police. Le 3 septembre 2012 Marc LACROIX a été mis en examen pour avoir, à ARGENTEUIL, volontairement donné la mort à Antoine CHERIFI. • • La suite est relatée plus haut. Mais, cette mort n'aurait jamais du arriver. En effet, les flics n'auraient jamais du relâcher le "jeune homme" car il était majeur et Patricia, mineure. Je pense qu'ils l'ont laissé partir car Patricia est black et le "jeune homme " est arabe. Ma fille aurait été blanche, je pense que le "jeune homme" aurait été mis en garde à vue. Mais comme a dit le flic qui m'a gentiment interrogé et ensuite interrogé mes amis que je lui avait désignés, il y a détournement de mineur quand il y a relation sexuelle. N'ayant fait aucun examen sur Patricia, je ne vois comment il a pu déterminé s'il y avait eu relation ou pas relation. En fait, ce cher flic devrait revoir ses cours! Définition du détournement de mineur: Le détournement de mineur est le fait de soustraire un mineur des mains de ceux qui exercent l'autorité parentale. Ce délit est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. Il n'implique pas de relations sexuelles entre majeurs et mineurs. Chose qu'il avait faite. . Ce "jeune homme" avait un super CV, je veux dire casier judiciaire, doublé d'une pathologie, la schizophrénie, non soigné, car il ne prenait pas de médicament.Connu des services de police, c'était une personne qui aurait du être soit dans un hôpital psychiatrique , soit en prison. Pourquoi a-t-on relâché cet homme? Au final, ma fille, Patricia a orchestré, organisé, planifié et prémédité ce scénario. L'objectif était de nous tuer tous les trois et ensuite vivre dans la maison.Un peu puéril, certes, mais c'était quand même bien pensé. Elle avait un alibi à toutes épreuves, puisque dans le foyer au moment des faits, elle n'a pas été inquiétée, et ne l'ai toujours pas, bien que j'ai porté plainte contre elle pour tentative de meurtre. Pas de réponse à ce jour. Je pense aussi qu'elle songeait à l'héritage qui lui aurait permis de vivre tranquillement. Il restait quand même Blaise. Avait-elle planifié quelque chose à son sujet? elle avait écrit sur des bristols qu'il ne fallait pas toucher à son ami, sinon elle nous tuait.Je ne l'ai pas pris au sérieux sur le moment.revoir Il est vingt deux heures trente ce jour là ,lorsque Laura entre à l'improviste et brutalement dans la maison accompagnée d'un homme qu'elle présente comme étant son petit copain. Cette nuit restera à jamais gravée dans nos mémoires car c'est là que tout a basculé. Description des évènements qui sont survenus pendant la soirée et les journées qui ont suivi. Chapitre VII : Assumer! Suite à cette malheureuse histoire, qu'en déduire et qu'en retirer d'au moins positif. Comme cela , je ne vois rien de positif, sauf en faire profiter les autres futurs parents et aider la Dass à être plus intelligent. Quand vous adoptez, c'est comme un enfant bio, sauf que vous avez un passé que vous ne connaissez pas ou peu. Ma fille avait 5 ans quand elle est arrivée en France. 5 ans où j'ai pu apprendre quelques brides de sa vie d'avant; mais le tout début, je ne sais pas grand chose, disons rien. Peut-être garder un lien avec la famille bio, sachant que cela comporte des risques. Toujours est-il que nous avons décidé, mon mari et moi-même de demande une déclaration de l'autorité parentale. Il est vrai que nous ne pourrions plus jamais vivre avec elle. Par la suite, nous décidons de l'abandonner juridiquement. Deux abandons dans une vie de 15 ans, sûrement beaucoup, mais Laura a tout fait pour en arriver là. Maintenant, est-ce que nous assumons. Pour ma part, oui.Je considère que nous avons traversé le désert pendant 7 ans, je mets la première année en dehors des 8 ans que nous avons vécu ensemble. Je lui ai laissé une chance au mois de mai 2014, en lui demandant par SMS, qu'est-ce qui l'avait poussée à faire tout ce carnage, je veux dire du début, jusqu'à cette fin dramatique. N'ayant pas de réponse , au bout de quelques jours, je l'ai appelée, en reposant la question, elle m'a raccroché au nez. J'ai rappelé, messagerie. Là, je me suis dit, c'est fini pour de bon. Elle m'aurait répondu et parler sincèrement, je l'aurai aidée et j'aurai fait en sorte de stopper les démarches d'abandon judiciaire. En fait, c'est le Conseil Général qui en fait la demande puisque nous ne donnons plus de nouvelles, plus d'intéressement envers Patricia. Comme avait dit le psychologue ou psychiatre du foyer, c'est comme la fin d'une idylle. Cela ne va pas dans ce chapitre Sep 2011 classe de 5E Vu son assiduité au collège à côté de chez nous, nous décidons de la mettre en pension loin de la maison.Donc, je l'inscris, après mettre fait aider par le Centre Fabert, car pas facile de trouver un collège avec les bonnes notes qu'elle avait. Donc, un pensionnat dans l'Oise accepte de la recevoir, pensionnat religieux. Pas très heureuse de partir mais pas le choix. Donc, je la déposais le lundi matin et un car les ramenait le vendredi soir av Foch. J'en ai fait des aller-retour, car elle oubliait ses médicaments, ses draps, ses vêtements , etc. Au niveau scolaire, pas d'exploit, en fait elle ne voulait pas rester.Il y a eu plusieurs histoires où j'ai été convoquée, mais j'avais l'habitude. Puis un lundi sur le chemin pour la reconduire au pensionnat, je reçois un appel de celui-ci. la Directrice m'annonce que Patricia est suspendue pour une semaine. Donc, retour à la maison et je lui demande WHY? Comme d'hab, elle ne sait pas. Une semaine après cette suspension, je la ramène, confiante, au collège , et là conseil disciplinaire réuni, Patricia est renvoyée pour attouchements sexuels sur plusieurs gamines, en décembre.2011 Les parents ont porté plainte, convocation chez les gendarmes où elle a été vu par un psychiatre, entendue par les gendarmes. Conclusion:classé sans suite. Ne sachant plus quoi faire, je fais appel au juge des enfants, puisque Patricia était déscolarisée , et l'école est obligatoire jusqu'à 16 ans. Après la visite en Février 2012 d'une infirmière et d'une assistante sociale, qui n'y connaisse rien à l'adoption, il est décidé que Patrcia doit être prise en charge par une association Mars, et est inscrite au CNED. Donc, un éducateur devait venir pour l'encadrer, je n'ai jamais vu quelqu'un. Quelques devoirs envoyés, puis plus rien.Elle sortait quand elle voulait et revenait quand elle voulait. En 2007, voyant qu'elle avait une pilosité qui se développait rapidement,ainsi que sa physionomie . j'en parle à mon médecin traitant. Il ne savait pas. Et en fouillant dans mon cerveau, je me rappelle avoir lu dans un livre lié à l'adoption, que certain enfant adopté développait une puberté précoce. Donc, je m'adresse au médecin qui avait écrit ce livre, lui-m^me ayant adopté plusieurs enfants, et je vais avec Patricia tous les 6 mois à Dijon pour son suivi.Son âge osseux montre une forme de puberté assez explosive. 3 ans de plus que son âge civil Une injection tous les mois de Décapeptyl pendant 2 ans , de mémoire. En 2008, pour l'aider, je lui fais suivre la méthode Tomatis. Pendant les vacances scolaires, je l'emmenais à Boulogne pour suivre ces stages. Résultats???? Une fois, au début, elle nous a fait croire qu'elle ne voyait pas bien.Résultats scolaires médiocres, car selon elle , elle voyait mal le tableau. Donc, je l'emmène chez l'ophtalmo, et ressors avec une paire de lunettes. Elle est presbyte, avec une presbytie importante. je lui fais faire des lunettes et au final, elle ne voyait rien avec ses lunettes. Elle voulait simplement nous ressembler car nous portons tous des lunettes dans la famille. J'en avais parlé à un psy, d'après elle s'était plutôt bon signe.Cela ne s'est révélé forcément vrai! Nous sommes à présent en 2014. Tsrara se retrouve en face d'une parfaite inconnue à qui elle confie son désir de mettre sur papier ce qu'elle a vécu ces dernières années. Elle a bien tenté de mettre des mots sur tout cela mais très vite, elle avait abandonné. Aujourd'hui, en regardant en arrière, elle ne pouvait s'empecher de regretter certains de ses choix. Et Laura? Avait-elle elle aussi des regrets? Dans cet ultime chapitre nous évoquerons la nouvelle vie de Tsara et de sa famille, notamment le fait que pour eux l'expérience de l'adoption ait été un échec et qu'à ce jour chacun tente de vivre avec cela. Conseil aux couples à la dass informations trouble de l'attachement tester les parents va-t-elle revenir que va-t-elle devenir j'abandonne Laura est-ce que je culpabilise?

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